Attitude d'un soldat Japonais

Attention en premier lieu, je ne m'attribue pas le travail d'un gars, je ne fais que le transmettre. (c'est écrit et réalisé par Hiro Onoda, un seconde classe de mon régiment Rising Storm) Je trouve son boulot génial, eet je vous le file dans le texte : 






Je me permet de créer non pas un guide, mais plutôt un débat avec des idées. Je m'explique un peu sur le titre de ce topic. Comme nous le savons tous, l'attitude des soldats Japonais et ceux depuis plus de 1000 ans est très différent du monde occidentale. L'honneur, la loyauté et le courage sont trois choses primordiales et il n'est pas rare que les soldats/officiers préfèrent se suicider plutôt que de se rendre/perdre la bataille.



 Le suicide exécuter par les japonais est très souvent le Seppuku. Le Seppuku, je cite par Wikipédia est (切腹, littéralement « coupure au ventre ») ou hara-kiri ou harakiri1, (腹切り) est une forme rituelle de suicide masculin par éventration, apparue au Japon vers le xiie siècle dans la classe des samouraïs, et officiellement interdite en 1868.

Seppuku

Traditionnellement, le seppuku était réalisé dans un temple en s'ouvrant l'abdomen à l'aide d'un wakizashi (sabre court) ou d'un poignard de type tantō, ce qui libère l'âme  La forme traditionnelle consiste en une ouverture transversale (dans la largeur), sous le nombril. Le seppuku comporte une version encore plus douloureuse, le jumonji-giri, qui consiste à rajouter une coupe verticale (de haut en bas) à la coupe horizontale pour marquer sa volonté d'expiation. Il existe une version moins honorable (et moins douloureuse) dans laquelle un "ami" (kaishakunin) coupe la tête pour une mort instantanée.





Le seppuku était traditionnellement utilisé en dernier recours, lorsqu'un guerrier estimait un ordre de son maître immoral et refusait de l'exécuter. C'était aussi une façon de se repentir d'un péché impardonnable, commis volontairement ou par accident. Plus près de nous, le seppuku subsiste encore comme une manière exceptionnelle de racheter ses fautes, mais aussi pour se laver d'un échec personnel.





Soyons logique, un tel rituel ne peut-être applicable en jeu, mais je pense que l'aspect historique de ce rituel permet de bien s’imprégner du comportement très spécifique que l'esprit et la vision du soldat japonais peut avoir sur lui et sa nation. Il n'était pas rare également que l'officier ayant échouer à sa tâche se fasse un Seppuku. 

Yubitsume

Le yubitsume (指詰め) est la pratique d'auto-ablation du petit doigt ou de l’annulaire utilisée par les yakuzas pour « présenter des excuses » à leur oyabun. C'est la forme la plus commune de réparation en cas d'erreur ou de manquement à leur devoir.

Ce rituel est censé provenir des tekiya, des joueurs ambulants, ancêtres des yakuzas. Si un joueur professionnel était incapable de payer une dette de jeu, le yubitsume était un moyen de paiement alternatif possible. Cette pratique handicapait le joueur, le rendant moins habile pour se défendre.

Le yakuza fautif coupe lui-même son auriculaire, à l'aide d'un tanto. La cérémonie a lieu soit en présence de l’offensé, à qui il remet alors l’auriculaire dans un petit linge blanc, soit seul, à son domicile, et il l’envoie alors à l'oyabun. La faute lavée, si le yakuza commet une nouvelle erreur, il répète l’opération avec l’annulaire et ainsi de suite. Il est donc possible de voir des membres de la pègre nippone amputés de plusieurs doigts.
Il reste possible que l'oyabun trouve la réparation insuffisante par rapport à l'erreur commise. Ce refus est très blessant envers le subordonné fautif, qui cherchera à tout prix à retrouver son honneur, quitte à se suicider. L'Oyabun peut aussi imposer la punition de son choix.

Kiri sute gomen (斬り捨て御免 / 切り捨て御免) signifie littéralement « Autorisation de trancher (au moyen d'un sabre pour la première graphie) et d'abandonner (sous entendu les lieux et le corps de la victime) ». C'est une expression japonaise ancienne qui remonte à l'ère médiévale. Les membres de la caste des samouraïs avaient le droit d'administrer un coup mortel à un membre d'une basse caste qui compromettait leur honneur. Ce dernier avait cependant le droit légitime de se défendre.

Cette expression, en relation avec cette coutume, sert à nommer l'acte et peut être employée pour signifier quelque chose comme « Désolé de vous tuer », ou « Je regrette de l'avoir tué, mais c'était mon droit ».

Désormais, l'expression est parfois utilisée dans le sens de « Je vous demande pardon par avance ».

Conclusion avec le Kamikaze 

Pour faire un peu original et pour tenter de mettre en avant le Kamikaze qui peut largement être applicable en jeu, je vais mettre en avant ma vision de ce que représente le Kamikaze en jeu. Clairement, c'est parfaitement possible et cela rajoutera un coté Role Play très intéressant en jeu. Je prend l'exemple parfait du Kamikaze à la grenade qui peut-être très efficace s'il est bien maîtriser. Oh, bien sur, une simple grenade lancer dans un bunker est plus simple, mais le kamikaze à la grenade surprend largement mieux et il n'est pas toujours évident pour le joueur d'en face de remarquer à cause du stresse ou même simplement de l'action en elle-même. Je suis certain que ce côté très Role Play, mais qui reste tout de même stratégique peut-être intéressant.

Le point important à comprendre, c'est que personnellement, je suis contre le suicide bête qui ne servira à rien. Il est très important que si vous jugez bon d'appliquer ce rôle, que ce rôle fasse en ce cas le plus de dégâts  Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que pendant la guerre du pacifique, les japonais ont également eu énormément de pertes à cause de leurs volontés du malgré le nom - dégâts maximum. Il faut être malin, sournois, observateur et vif pour tenir un tel rôle. Bien entendu, il est stupide de prendre ce rôle dans une situation qui pourrait être désavantageux pour le reste de l'équipe, de plus, c'est très souvent l'officier qui ordonne ce genre de chose et il n'est pas rare que ce rôle soit globale, ce genre d'ordre est donner quand il n'y a plus rien à perdre à part l'honneur pour la nation. Il n'était pas rare d'ailleurs à l'époque que des soldats refusaient d’exécuter l'ordre, très souvent, il était exécuter. Pour conclure, je reste persuader que ce genre d'actions pourrait être très intéressant, mais également bien vu.